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Quel budget prévoir lorsqu’on souhaite louer un logement ? En effet, outre le loyer mensuel, plusieurs dépenses doivent être prises en considération afin de préparer vos finances en amont. Voici nos conseils pour une location sereine du début à la fin.

Quel montant de loyer puis-je payer ?

À moins de disposer d’un budget illimité, il est important de connaître la fourchette de loyer qui correspond à vos moyens financiers. Globalement, le loyer représente aux alentours de 33 % des revenus d’un locataire. N’oubliez pas de prendre en considération les aides de l’État (l’aide personnalisée au logement – APL, l’allocation de logement à caractère familial – ALF, l’allocation de logement à caractère social – ALS), si vous êtes bénéficiaire et surtout de vérifier si vous pouvez en bénéficier !

Quels sont les frais à prévoir pour louer un logement ?

La location de logement est accompagnée de frais incontournables :

  • Le dépôt de garantie (qui équivaut à 1 mois de loyer hors charges) ;
  • Le premier loyer et les provisions de charges ;
  • Les frais d’agence (qui équivaut à 1 mois de loyer hors charges) ;
  • Les frais d’accès au réseau téléphonique ou à internet ;
  • Les frais de raccordement et d’ouverture de compteurs de gaz, électricité et d’eau.

À ces dépenses s’ajoutent celles inhérentes au déménagement puis à l’ameublement du logement.

Les dépenses pour l’électricité et l’eau

Dans certains cas, la consommation électrique et d’eau est incluse dans le prix du loyer. Si cela n’est pas le cas, il est essentiel d’avoir une idée des dépenses à prévoir pour ce poste. Demandez des informations au bailleur ou à l’ancien locataire si cela est possible.

Au moment de l’entrée dans le bien, pensez à bien relever les compteurs, afin de ne pas vous retrouver à payer la facture du locataire précédent.

En l’absence de compter, demandez l’installation d’un modèle individuel, obligatoire. Dans un tel cas, les démarches et les frais d’installation sont à la charge du locataire, qui doit compter entre 10 et 200 euros !

Les taxes

Taxe d’habitation, d’enlèvement des ordures et audiovisuelle : trois dépenses supplémentaires à intégrer à votre budget. Toutefois, la taxe d’habitation est sur le point d’être abolie pour les locataires.

L’assurance habitation

Dernier poste de dépense obligatoire et non des moindres, l’assurance habitation. Le montant payable dépend de plusieurs facteurs (superficie du logement, couverture, options, région).

Les dépenses liées à la location d’une maison ou d’un appartement ne s’arrêtent pas au loyer. Il est donc essentiel d’avoir une idée assez précise du budget mensuel que vous devrez consacrer. Comptez sur votre agent immobilier pour vous aider à éclaircir les points qui le nécessitent !

Si vous avez décidé de demander un crédit pour financer l’achat d’un bien immobilier, dans la grande majorité des cas, la banque ou l’organisme prêteur vous demandera un apport personnel. Le montant avoisine 10 % du prix du bien, voire plus. Sachez néanmoins que plus l’apport est important, moins le taux d’intérêt sera élevé ! Nos conseils pour économiser et constituer un apport intéressant.

 

Qu’est-ce que l’apport personnel pour un crédit immobilier ?

L’apport personnel est une somme d’argent. Comme son nom l’indique, il provient des fonds de l’acquéreur d’un bien immobilier, fonds qu’il a économisé sur un compte épargne bancaire dans la plupart des cas.

 

L’apport personnel est-il obligatoire pour avoir un crédit immobilier ?

Bonne nouvelle, certaines banques peuvent accorder un crédit immobilier y compris en l’absence du fameux apport personnel. Il s’agira alors d’un crédit dit à 110 %, qui couvrira non seulement entièrement le prix du bien, mais également les frais liés à ce type d’investissement.

Quoi qu’il en soit, si la banque réclame un apport personnel et que vous n’avez pas d’épargne pour satisfaire à cette condition, vous pouvez toujours vous tourner vers un professionnel certifié, qui pourra vous aider à trouver un établissement prêteur favorable.

 

Quels sont les frais liés à l’achat d’un bien immobilier ?

L’achat d’un bien immobilier engendre bien entendu des frais supplémentaires, qui peuvent être couverts par l’apport personnel de l’acquéreur. Il s’agit :

  • Des frais de notaire ;
  • Des frais d’agence si vous passez par une agence pour trouver le bien parfait ;
  • Le coût du crédit ;
  • Les taxes liées à l’achat immobilier ;
  • Les charges de copropriété s’il s’agit d’un appartement ;
  • Les travaux votés par la copropriété ;
  • Les frais de déménagement ;
  • Les impôts locaux ;
  • Les éventuels travaux dans le nouveau logement.

 

Comment constituer un apport personnel pour acheter un bien immobilier ?

5 solutions facilement accessibles s’offrent à vous pour constituer votre apport personnel :

  • Le PEL (Plan d’Épargne Logement), bloqué pendant 4 ans, ce qui vous laisse le temps d’épargner à votre rythme sans pouvoir toucher à votre argent pour d’autres dépenses ;
  • L’épargne mensuelle sur un compte destiné à cet effet, à la banque. Pensez au virement automatique pour être certain de ne rater aucun versement ;
  • Le déblocage de l’épargne salariale au sein de votre entreprise ;
  • Une gestion rationalisée de vos dépenses personnelles, hormis les dépenses obligatoires ;
  • Les prêts aidés par l’État (Prêt Action Logement, PTZ, prêt PAS).

 

Bien gérer l’utilisation de son apport personnel

Il est fortement conseillé de ne pas investir la totalité de son apport personnel si ce dernier dépasse les 10 % mentionnés plus haut. En gardant la somme restante, cela vous permettra, par exemple, de parer à toutes les dépenses inattendues qui peuvent survenir une fois le bien acquis.

Besoin d’un conseil sur l’apport personnel ? De réponses sur l’achat d’une maison ou d’un appartement sans cette somme ? Notre agence immobilière vous accompagne tout au long du processus !

 

Acheter un bien immobilier demande un peu de préparation, par exemple, en ayant une bonne idée du budget d’achat dont vous allez disposer. Pour cela, il faut calculer le montant des mensualités à verser chaque mois à la banque ou autre organisme prêter si vous passez par un crédit immobilier pour financer votre acquisition. Comment faire ?

 

Que signifie « remboursement de crédit immobilier » ?

On parle de remboursement de crédit immobilier lorsqu’une personne verse une somme chaque mois à la banque qui lui a prêté les fonds afin de financer son achat d’un appartement ou d’une maison. Ce remboursement de crédit doit être considéré comme un véritable investissement.

 

Que paie-t-on chaque mois dans le remboursement d’un crédit immobilier ?

Chaque mensualité du crédit immobilier ne couvre pas uniquement le coût du bien et son montant dépend de la quantité d’argent emprunté, le taux d’intérêt ainsi que la durée d’emprunt.
Concrètement, il est divisible en deux couches principales :

  • Le remboursement d’une partie du capital pour l’achat
  • Le remboursement d’une partie des intérêts sur l’emprunt immobilier.

 

Bon à Savoir

La banque vous remettra obligatoirement un échéancier de paiement qui permet de connaître la répartition du capital et des intérêts de votre crédit s’il est à taux fixe. Également appelé tableau d’amortissement, il permet de suivre l’évolution du crédit au fil de son remboursement.

 

Comment calculer les mensualités à rembourser à la banque ?

Tout commence par l’établissement de votre capacité d’emprunt qui prend en compte plusieurs critères :

  • Les rentrées d’argent régulières
  • Votre taux d’endettement actuel
  • Vos dépenses fixes
  • Les dépenses importantes d’argent prévisibles et à venir.

 

Peut-on modifier le montant ou la durée des mensualités pendant le remboursement d’un crédit immobilier ?

Tout dépendra de ce que votre contrat prévoit, mais il est possible de réduire la durée ou le montant de remboursement de votre prêt immobilier.

Réduire le montant du remboursement des mensualités : cette solution peut s’avérer pratique si vous rencontrez des difficultés financières temporaires, puisqu’elle induit la réduction également des intérêts. En contrepartie, cette action augmenta bien entendu la durée du crédit immobilier.

Réduire la durée du remboursement des mensualités : pourquoi ne pas réduire cette durée si vous avez reçu une importante somme d’argent ? Dans un tel cas, attention aux pénalités de remboursement anticipé, qui peuvent être appliquées par certaines banques.

Pour l’achat d’un bien immobilier pour en faire, par exemple, votre résidence principale, vous devrez suivre certaines étapes essentielles. Voici un résumé pratique qui vous permettra de planifier, tranquillement pendant le reconfinement, cet investissement financier et personnel marquant, surtout s’il s’agit d’une première pour vous !

Vos possibilités financières

Acheter un bien immobilier à crédit induit que vous allez devoir :

  • Présenter votre apport personnel à la banque ou à l’organisme financier prêteur (dans le meilleur des cas, 10% du prix de vente) ;
  • Calculer au plus juste votre capacité d’emprunt ;
  • Votre capacité de remboursement ;
  • Taux d’endettement actuel ;
  • Reste à vivre.

Il est fortement conseillé de prendre rendez-vous avec votre banquier. Vous devrez ainsi lui présenter vos documents financiers (emprunts en cours, fiches de paie, budget familial, etc.). Ensemble, vous déterminerez la somme que vous pourrez emprunter et le remboursement mensuel auquel vous serez soumis, si votre prêt est accordé.

Maison ou appartement : déterminez le logement qui vous conviendra le mieux

Vous êtes en plein processus pour devenir propriétaire, toutefois, vous hésitez entre un appartement et une maison.

  • Dans le premier cas, vous devrez prendre en considération notamment le type d’immeuble, son état, le respect des diagnostics techniques, l’entente entre les différents copropriétaires, etc.
  • Dans le second cas, renseignez-vous sur les servitudes de passage, son statut cadastral, la pertinence de la délimitation du terrain, pour ne citer que ces aspects.

Un bien immobilier qui correspond à votre budget

Si vous pensez pouvoir négocier un bien immobilier dont le prix dépasse votre budget, cette pratique n’est pas toujours automatique. Le bien en question se trouve-t-il dans une zone où le marché est dynamique ? Vos chances s’amenuisent. Le mieux à faire si vous souhaitez trouver un logement qui cadre avec vos finances est de demander conseil à un professionnel du secteur ! Son expérience vous orientera vers le bien le plus pertinent.

Les aides financières de l’État

Prenez le temps d’étudier les différentes aides financières proposées par l’État à l’attention des acquéreurs de biens immobiliers :

  • Le prêt à taux zéro (PTZ), destiné aux biens neufs ;
  • Le prêt Action Logement proposé par certaines entreprises ou encore le déblocage de l’épargne salariale ;
  • Le prêt à l’accession sociale (PAS), sous condition d’éligibilité ;
  • La prime d’État versée aux propriétaires de Plan d’Épargne Logement (PEL) ouvert avant le 1er janvier 2018

Les frais liés à l’achat d’un bien immobilier

  • L’achat d’un bien immobilier a un coût, en plus de celui du bien en question ;
  • Les frais de notaire ;
  • Les frais d’agence immobilière ;
  • Les frais liés au prêt ;
  • Les taxes fiscales ;
  • Les charges de copropriété ;
  • Les travaux à financer au sein de la copropriété ;
  • Les dépenses pour le déménagement ;
  • Les travaux de rénovation dans le logement, s’il y en a ;
  • Les frais d’assurance.

Ces pistes vous mettront sur la voie pour réussir l’achat de votre bien immobilier. N’oubliez pas que l’aide d’un professionnel vous permettra d’éclaircir toutes les zones d’ombres qui peuvent entourer un tel investissement !

L’achat immobilier demande un investissement conséquent et dans de très nombreux cas, les acquéreurs ont recours à un emprunt immobilier pour financer le bien. Si l’optique de devenir propriétaire fait jaillir des millions d’idées pour décorer, agencer votre futur logement, il convient dans un premier temps de préparer votre budget. Cela vous permettra non seulement de vivre au quotidien, mais surtout de rembourser vos mensualités en toute sérénité. Nos conseils…

Établissez une limite de prix ferme

Dans le montant total que la banque consentira à vous prêter en plus de votre apport, vous devrez soustraire :

  • Le prix du bien immobilier ;
  • Les frais de notaire ou frais d’acquisition ;
  • Les frais d’agence ;
  • Le coût du crédit ;
  • Les taxes relatives au bien acheté ;
  • Les charges de copropriété ;
  • Les travaux votés par la copropriété ;
  • Les frais de déménagement ;
  • Les impôts locaux ;
  • Les travaux si le bien est ancien

Bon à savoir

Dans le cadre d’un emprunt immobilier, la banque prendra en considération votre capacité d’endettement, qui ne doit pas dépasser les 33 %. Cette capacité est augmentée dans certains cas uniquement.

Communiquez avec votre agent immobilier !

L’agent immobilier est votre meilleur allié lors de la recherche, de l’achat et de la vente d’un bien. Lorsqu’il s’agit d’un achat, n’hésitez pas à lui communiquer clairement le budget que vous pouvez consacrer.

Évitez d’enchérir auprès du vendeur

Si vous souhaitez vraiment vous arrêter à un prix défini, si vous savez que votre budget ne supportera pas des remboursements mensuels plus élevés, évitez de faire une contre-offre au vendeur, si ce dernier est amené à choisir entre plusieurs acquéreurs potentiels.

Ne tournez pas complètement le dos aux biens qui ne se vendent pas

Un bien qui est sur le marché depuis plusieurs mois n’est pas forcément une mauvaise nouvelle. Prenez le temps de vous renseigner, de vous faire assister de votre agent immobilier pour savoir s’il vaut le coup d’investir et mieux, de négocier le prix initial à la baisse !

En conclusion

Il peut être difficile de respecter son budget lorsqu’on décide d’acheter un bien immobilier, aussi, il est important de prendre son temps et de demander l’aide d’un professionnel. Ayez bien en tête la somme maximale que vous pouvez dépenser et n’hésitez pas à refuser de vous tourner vers les biens qui sont en dehors de votre plan.

Qu’il s’agisse d’acheter un bien immobilier à rénover ou que vous souhaitiez améliorer votre logement actuel, par exemple, avant de le mettre en vente, il est essentiel de bien organiser votre budget pour éviter toute difficulté financière.

Estimation du coût global d’une rénovation immobilière

Selon les spécialistes, la rénovation immobilière doit être moins élevée que la valeur du bien, aussi, il est conseillé de faire estimer la valeur du logement, si vous en êtes déjà propriétaire. L’idéal serait d’avoir en tête la valeur de chaque pièce au prorata du prix global du logement.

Financement de votre rénovation

L’État français prévoit plusieurs types d’aide et prêts à la rénovation qu’il est intéressant de consulter. Attention toutefois, ces programmes sont destinés à l’amélioration et à la rénovation énergétique de l’habitat.

Autrement, si votre projet de rénovation ne concerne pas l’aspect énergétique :

  • Vous pouvez vous renseigner auprès de votre banque sur le « prêt travaux », limité à 75 000 € ;
  • Vous intéresser au prêt aidé auprès d’un établissement accrédité par l’État et distribué sous conditions de ressources : prêt Accession Sociale (PAS) – Prêt « Pass-travaux » – Prêt amélioration de l’habitat – Prêt à taux zéro (PTZ) – prêt de l’ANAH.

L’obtention de devis auprès de professionnels

En établissant une liste précise des travaux de rénovation que vous souhaitez faire, vous pouvez demander une estimation auprès d’entreprises spécialisées. N’hésitez pas à contacter plusieurs entreprises, et surtout, ne misez pas tout sur le devis le moins élevé, signe que l’entreprise est susceptible de rogner sur la qualité des matériaux.

Respectez votre plan de rénovation initial

Tout changement, aussi mineur soit-il, dans un plan de rénovation augmentera la facture. Il convient, si vous êtes indécis sur un élément, de bien prendre le temps de mettre en place un plan définitif avant de vous lancer.

Les coûts cachés

Prenez en compte les coûts cachés dans votre budget : environ 10 à 20 % pour les dépenses imprévues. Un projet de rénovation parfait sur le papier est presque toujours sujet à quelques surprises.

Si vous souhaitez acheter un bien immobilier, la réalisation de votre projet dépendra en grande partie du budget dont vous disposez. Plusieurs paramètres sont donc à prendre en considération pour optimiser cet achat : quels sont-ils ?

Bien préparer son achat immobilier

Acheter un bien immobilier requiert une préparation minutieuse pour éviter toute mauvaise surprise au moment de sauter le pas. Quatre paramètres financiers essentiels sont donc à prendre en considération, à savoir :

  • Le montant de l’apport personnel ;
  • Les frais liés de dossier ;
  • La capacité d’emprunt ;
  • La capacité de remboursement.

Quel montant pour votre apport personnel ?

Le montant de l’apport personnel fait partie de ces facteurs qui facilitent l’obtention du prêt immobilier : plus il est élevé, plus la banque sera encline à vous accorder le crédit immobilier dont vous avez besoin pour acheter votre bien immobilier.

Les frais de dossier

Votre budget achat immobilier doit impérativement prendre en compte plusieurs frais annexes au prix du logement :

  • Frais d’agence, si vous passez par un professionnel ;
  • Frais de notaire ;
  • Frais bancaires.

En tout et pour tout, ces frais représenteront environ 10 % de votre emprunt bancaire.

La capacité d’emprunt

Quelle somme pourrez-vous demander à votre banque dans le cadre de votre crédit immobilier ?

Pour connaître votre capacité d’emprunt, commencez par répondre aux interrogations suivantes :

  • Le montant de votre apport personnel ;
  • Quelles sont vos charges obligatoires et fixes ?
  • Le type de bien immobilier : neuf ou ancien ;
  • Les aides auxquelles vous pouvez prétendre (exemple : PTZ) ;
  • S’agit-il d’un investissement locatif ou résidentiel ?
  • Quel taux d’intérêt maximum prévoyez-vous de payer ?
  • Ce taux devra-t-il être fixe ou révisable ?
  • Quelle est votre capacité d’endettement (33 % maximum en France) ;
  • Quel montant maximal pour vos remboursements ?
  • Quelle durée d’emprunt ?
  • Votre âge au moment de la souscription au prêt immobilier ;
  • Allez-vous emprunter seul, à deux, à plusieurs ?

Un professionnel vous aidera à calculer votre capacité d’emprunt !

La capacité de remboursement

Pour avoir une bonne idée de votre capacité de remboursement, prenez en considération :

  • Votre salaire ;
  • Le salaire de votre conjoint s’il y a lieu ;
  • Les éventuelles allocations familiales,
  • Les revenus issus de l’immobilier ;
  • Les autres revenus réguliers ;
  • Votre loyer actuel,
  • Vos taxes (impôts sur le revenu, fonciers et locaux) ;
  • Vos dépenses en électricité et chauffage ;
  • Vos dépenses téléphoniques ;
  • Vos remboursements de crédits personnels ;
  • Vos remboursements de crédit immobilier en cours ;
  • Autres dépenses mensuelles et obligatoires.

L’immobilier est une valeur sûre, personne ne dira le contraire, y compris pour les personnes qui ne disposent pas d’un budget conséquent. Souhaitez-vous constituer un patrimoine immobilier avec un budget restreint ? Avec les bonnes informations et surtout l’aide d’une agence immobilière, ce projet peut se révéler gagnant !

Investir dans une maison

Ce type d’investissement est intéressant. L’idée est de trouver un bien qui soit de taille modeste et avec travaux. Selon les spécialistes, l’achat d’une maison en vue de constituer un patrimoine immobilier est une initiative qui peut s’avérer payante. En effet, il est relativement facile de louer ce type de logement et sur la durée. Pour surmonter les difficultés qui peuvent survenir dans ce projet, notamment trouver une maison qui corresponde à votre budget, situé dans une zone dynamique, il est fortement conseillé de se rapprocher d’un professionnel.

Investir dans une chambre de bonne

Premier élément essentiel à garder en tête si vous souhaitez investir dans une chambre de bonne : le bien est-il décent, s’il est destiné à être loué ? En effet, la loi prévoit que pour être considéré comme un logement, ce type de bien doit présenter au moins 9 mètres carrés habitables, 2,20 mètres de hauteur sous plafond, une alimentation en eau (chaude et froide) et la possibilité d’y installer des appareils de cuisson et de chauffage d’appoint. Une fois cette question éludée, notez que l’investissement dans une chambre de bonne est relativement rentable, car très recherchée, aujourd’hui encore.

Investir dans un studio

En vous éloignant des centres économiques et de vie, vous ferez là encore un investissement gagnant. Il faudra par la suite trouver un locataire solvable, fiable et désireux de louer sur le long terme. Demandez l’aide d’un agent immobilier qui épluchera méticuleusement chaque dossier de candidature.

Investir dans une place de parking

Si les parkings privés sont de plus en plus nombreux, n’hésitez pas à vous tourner vers les vieux quartiers, les centre villes. Petite astuce, vous trouverez facilement un locataire en choisissant une place située proche de la sortie et capable d’accueillir de gros véhicules (exemple SUV). La présence de bornes électriques pour les nouveaux véhicules est également un must, dans la mesure du possible.

Votre budget ne doit pas être un frein à votre projet d’investissement immobilier. Tournez-vous sans hésiter vers votre agent immobilier pour connaître les prix pratiqués, les zones les plus rentables et constituez sans attendre votre patrimoine immobilier !

240 euros TTC, c’est la somme qu’un propriétaire dépense en moyenne chaque année pour l’entretien de son bien. Bien qu’imprévus, ceux que l’on surnomme les « petits travaux » sont en réalité une obligation légale, régie par l’article 6 de la loi du 6 juillet 1989 selon lequel le bailleur doit « faire toutes les réparations, autres que locatives, nécessaires au maintien en l’état et à l’entretien normal des locaux loués ». Précisons que ces menues actions ne comprennent pas les rénovations, aussi, si vous prévoyez d’investir dans l’immobilier, il convient de prendre en considération ce budget supplémentaire !

Petits travaux : quelle fréquence ?

Attention, les fréquences indiquées ci-dessous sont des moyennes. Elles varient en fonction de l’entretien de l’immeuble ainsi que de l’ancienneté du bien.

  • La plomberie et le chauffage remportent la palme des interventions les plus couramment financées par les propriétaires, au moins une fois par an (à raison de 96 euros environ, par an).
  • Ils sont suivis par l’ameublement et l’électroménager, qui demandent de l’attention environ tous les deux ans.
  • Quant aux dégâts des eaux, ils feraient surface tous les deux ans et demi environ.
  • Enfin, citons les systèmes d’aération (humidité, ventilation mécanique, etc.) (environ 40 euros par an). Rappelons que ces systèmes requièrent également un contrôle professionnel tous les cinq ans.

Rappel – Ce que dit la loi

Lorsqu’un bien immobilier présente une malfaçon, un mouvement du bâti ou qu’il est vétuste, c’est au propriétaire de financer les travaux. Quant à ceux plutôt courants et liés à l’entretien général du logement, c’est au propriétaire d’en prendre la charge.

Les petits travaux à la charge du propriétaire :

  • Réparation des dégâts occasionnés par la vétusté naturelle du bien ;
  • Travaux de mise aux normes ;
  • Remplacement des volets vétustes ;
  • Remise aux normes et réparation des réseaux d’électricité et de gaz ;
  • Remplacement des revêtements des murs et des sols usés naturellement ou encore les gros travaux de plomberie ;
  • Remplacement de chaudière ou de radiateur ;
  • Curage fosse septique.

Les petits travaux à la charge du locataire :

  • Remplacement des petits équipements électriques (des ampoules, douille, prises…) ;
  • Raccords de peinture – rebouchage des trous de fixation ;
  • Remplacement d’un pommeau de douche et flexible ;
  • Changement de papier peint à son initiative ;
  • Remplacement des joints des robinets ;
  • Entretien de l’installation électrique (remplacement coupe-circuits, fusibles) ;
  • Entretien du système de chauffage.
  • Débouchage des canalisations ;
  • Entretien de la plomberie ;
  • Entretien de climatisation ;
  • Réfection des joints périphériques (baignoire, receveur douche, évier, lavabo) ;
  • Entretien du jardin – arrosage- taille- tonte ;
  • Vidange fosse septique ;
  • Entretien courant des fenêtres – graissage des parties mobiles et nettoyage des grilles d’aération ;
  • Accessoires gaz validité (flexibles, détendeurs et robinet) ;
  • Détecteur de fumée (dépoussiérage régulier, test régulier de bon fonctionnement et changement des piles) ;
  • Remplacement des clés et badges en cas de perte.

Les projets d’achat immobilier sont nombreux, pour certains, il s’agit d’améliorer son cadre de vie, pour d’autres, de concrétiser un projet de construction, etc. Avant de se lancer dans un tel projet, il est essentiel de préparer l’aspect financier. Ce qu’il faut retenir…

Les étapes d’un achat immobilier

Pour résumer un achat immobilier, il se déroule de la manière suivante :

  • La recherche d’un bien immobilier
  • L’offre d’achat
  • Le choix du notaire
  • Le compromis ou la promesse de vente
  • Demande de prêt
  • Délai de rétractation (10 jours)
  • Délai d’obtention du prêt (1 mois et demi environ)
  • Acceptation de l’offre de prêt
  • Acte de vente

Le budget

Premier point essentiel à mettre sur la table dans le cadre d’un achat immobilier : le budget. Avez-vous des économies destinées à cet effet ? Allez-vous emprunter auprès d’une banque ? Quelle sera votre capacité de remboursement ? Cet aspect va déterminer toute la suite du projet.

L’épargne

À moins d’avoir la totalité du budget nécessaire pour acheter votre logement, il vaut mieux disposer d’un apport personnel, qui facilitera l’accord de prêt auprès de la banque.

Pour épargner, il existe les solutions suivantes :

Le Plan d’Épargne Logement (PEL), un support d’épargne bloqué et réglementé qui permet à terme d’obtenir un prêt à taux préférentiel. Le titulaire peut également obtenir une prime et un droit de prêt immobilier (jusqu’à 92 000 €, après 4 ans), construction, aménagement, grâce à son compte épargne, à condition que ce dernier soit conservé au minimum 4 ans et maximum 15 ans, durée de vie de ce plan. Pour les PEL ouverts après mars 2011, au bout de ce délai, ils deviennent des livrets d’épargne ordinaires rémunérés au taux décidé par la banque. Enfin, les sommes épargnées sont uniquement disponibles au moment de la clôture du plan.

Le Compte Épargne Logement (CEL) peut être ouvert par toute personne physique, même mineure dès lors où sa résidence habituelle est en France. En cas de détention d’un PEL, l’ouverture d’un CEL doit se faire dans le même établissement. Le titulaire ne peut posséder qu’un CEL et ne pourra en ouvrir un autre auprès d’une autre banque. Le cumul de certains produits d’épargne comme le Livret jeune est possible. Il n’y a aucuns frais d’ouverture ou de fermeture. Ce compte donne la possibilité d’emprunter jusqu’à 23 000 € après 18 mois d’épargne.

Montant du prêt immobilier

Les banques prennent généralement deux facteurs pour accorder ou refuser un prêt immobilier :

  1. Les revenus
  2. Le niveau d’endettement, qui correspond au rapport entre toutes les mensualités d’emprunt existantes et les autres dépenses obligatoires régulières comparées aux revenus. Le ratio ne doit pas dépasser 30 % environ.

Le prix du marché immobilier

Pour évaluer son budget, il est important d’estimer le coût d’un bien correspondant à ses besoins en déterminant la surface souhaitée et en calculant le prix du mètre carré dans le secteur choisi. Pour une estimation proche de la réalité, il est fortement recommandé de se rapprocher d’un agent immobilier.

Les frais annexes à l’achat immobilier

Outre le prix du bien immobilier, d’autres dépenses sont à prévoir :

  • Les frais de notaire – 3 à 4 % du prix du bien dans le neuf et 7 à 8 % dans l’ancien,
  • Les frais de négociation – de l’agence immobilière à payer au moment de l’acquisition,
  • Le coût du déménagement
  • Les frais de raccordements – aux services d’électricité, internet, téléphone, etc.
  • Les charges de copropriété,
  • Les assurances et taxes annuelles
  • L’assurance habitation

Trouver un bien immobilier

Pour trouver un bien qui répondra à vos attentes, à vos envies et à vos besoins, il faut réfléchir aux éléments suivants :

  • La localisation du bien, en fonction du but de cet achat immobilier
  • Les points tels que la superficie, les rangements, la présence d’un parking et/ou d’une cave, le type de chauffage (individuel, central, au gaz, électrique, etc.), la qualité sanitaire et énergétique, l’exposition, l’ancienneté du bien et les matériaux de construction, les charges de copropriété éventuelles et les travaux prévus, les commodités (commerces, écoles, etc.), l’environnement général dans lequel se trouve le logement (voisinage, quartier, etc.)