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Préparez votre tout premier achat immobilier en faisant le point sur des éléments clés. Voici une sélection de critères sur lesquels vous baser pour réussir votre projet. N’oubliez pas que votre agent immobilier possède toutes les données et les informations pour vous guider vers une acquisition réussie et surtout sereine, réellement en adéquation avec vos besoins, envies et moyens !

Ai-je vraiment un intérêt à acheter un bien immobilier plutôt que louer ?

Certes, vous avez besoin d’un logement pour habiter immédiatement, mais quels sont vos projets à long terme ? Si, par exemple, vous êtes en couple, avez-vous prévu de faire des enfants, donc aurez-vous besoin d’espace supplémentaire ? Avez-vous déjà commencé à mettre de côté, pour constituer un apport personnel ? Plus important encore : vous voyez-vous dans quelques années en tant que propriétaire d’un appartement ou d’une maison ?

Quel est le type de bien idéal pour un premier achat immobilier ?

Souhaitez-vous vivre dans le logement ou le louer ? Prenez le temps de jauger les avantages et inconvénients de l’achat immobilier dans les deux cas. Sachez que, quelle que soit l’option choisir, vous aurez des frais à prévoir dans votre budget mensuel et annuel. Pour en savoir plus sur ce sujet, demandez conseil à votre agent immobilier !

Quelle est la zone idéale pour acheter un premier bien immobilier ?

En fonction de votre budget et de votre projet, vous pouvez acheter un bien immobilier dans ou hors d’une grande ville, en banlieue ou même en centre-ville. Si vous souhaitez être proche des commerces, des transports, des écoles ou encore des lieux de loisirs, la réponse est en ville, tout simplement. Au contraire, si vous recherchez le calme et offrir un cadre différent à votre famille, la grande banlieue sera idéale, etc.

Vaut-il mieux acheter un premier bien immobilier dans le neuf ou dans l’ancien ?

Les biens immobiliers neufs comportent de nombreux avantages :

  • Frais de notaire réduit ;
  • Absence de travaux ;
  • Performance énergétique aux dernières normes ;
  • Des garanties constructeurs qui peuvent vous protéger jusqu’à 10 ans après la remise des clés ;
  • Des exonérations de taxes foncières s’il s’agit d’un bien VEFA.

Avez-vous envie d’un logement entièrement personnalisable ?

Si le neuf et ses nombreux avantages ne vous tentent pas, si vous penchez pour un bien immobilier nécessitant des travaux, vous devrez :

  • Avoir suffisamment de temps pour prendre les travaux en main ;
  • Posséder les compétences nécessaires ;
  • Ou alors, posséder les fonds suffisants, en plus de ceux réservés à l’achat, pour financer les travaux.

Quel est mon budget ?

L’achat d’un bien immobilier n’étant pas un investissement anodin, il est important d’avoir une très bonne visibilité sur les sommes à prévoir. Plus clairement, un acquéreur paie le prix de vente, mais également d’autres frais, notamment :

  • Les intérêts bancaires du crédit ;
  • Les frais de notaire ;
  • Les charges de copropriété, s’il s’agit, par exemple, d’un appartement ;
  • Les taxes ;
  • Les factures obligatoires mensuelles ;
  • Le déménagement.

Lors d’une transaction immobilière, l’acheteur peut faire une offre d’achat au vendeur. Pour cela, il doit rédiger une « lettre d’offre d’achat », qui doit obligatoirement mentionner certaines informations. Ce document permet, toujours à l’acquéreur, de formuler son intention d’acheter le bien qu’il a, par exemple, visité avec son agent immobilier, à un certain prix.

L’offre d’achat immobilière : de quoi s’agit-il ?

L’offre d’achat immobilier, parfois appelée « proposition d’achat », est un document écrit, facultatif, mais recommandé.

À ne pas prendre à la légère, il fait office d’acte juridique unilatéral, c’est-à-dire engageant uniquement l’acquéreur au moment de sa rédaction. En le remettant au vendeur, l’acquéreur formule officiellement son intention d’acheter le bien qui l’intéresse à un prix donné, ceci après et estimation dudit bien.

L’offre d’achat n’engage en aucun cas l’acquéreur à remettre une quelconque somme d’argent au vendeur pour « réserver » le bien en vente.

Pourquoi faire une offre d’achat immobilier ?

Le prix d’achat proposé par l’acquéreur dans son offre d’achat ne doit pas nécessairement être égal à celui demandé par le vendeur. Néanmoins, en recevant une offre d’achat, ce dernier peut être convaincu par la motivation de l’acheteur, mais aussi, finaliser rapidement la vente de son bien.

Comment bien rédiger une offre d’achat immobilier ?

Une offre d’achat signée par l’acquéreur et le vendeur n’est plus modifiable, aussi, il est important de préparer sa rédaction. Faites un brouillon en rassemblant plusieurs éléments :

  • L’identité de l’acquéreur et du vendeur ;
  • Les détails du bien immobilier (adresse, type de logement, nombre de pièces, surface, etc.) ;
  • Le prix du bien fixe, inférieur ou égal à celui du vendeur, proposé par l’acquéreur ;
  • La durée de validité de l’offre d’achat, délai au-delà duquel l’offre d’achat n’est plus valable ;
  • Les conditions suspensives de l’offre d’achat, s’il y en a ;
  • Le mode de financement de l’achat ;
  • Les modalités de réponse du vendeur.

Les clauses suspensives qui peuvent être mentionnées dans une offre d’achat immobilier

En guise de précaution, l’acquéreur peut mentionner des clauses suspensives dans son offre d’achat immobilier, par exemple :

  • L’obtention d’un crédit immobilier pour financer l’achat ;
  • Que le système électrique du bien respecte les normes en vigueur ;
  • Que le vendeur respecte son engagement à mener certains travaux de réparation ;
  • Que l’acheteur obtienne l’autorisation officielle de faire construire une expansion au bien ;
  • L’absence de servitude susceptible d’affecter l’utilisation et la propriété du bien en vente ;
  • Etc.

La présence de clauses suspensives dans une offre d’achat immobilier induit que chaque partie doit tout mettre en œuvre pour remplir ces clauses. Si, par exemple, l’acquéreur conditionne l’achat à l’obtention d’un crédit immobilier, il doit se rapprocher de plusieurs établissements bancaires afin d’augmenter ses chances d’obtenir le financement requis. Il s’engage également à prévenir le vendeur de tout refus de prêt.

Un acquéreur peut-il se rétracter après la remise de l’offre d’achat immobilier ?

L’acquéreur peut retirer son offre, par écrit, dans les cas suivants :

  • Tant que le vendeur n’a pas donné de réponse, y compris durant le délai de réflexion ;
  • Si le vendeur refuse les propositions du vendeur ;
  • Si le vendeur a dépassé le délai de réflexion mentionné dans l’offre ;
  • Si le vendeur fait une contre-proposition écrite ;
  • Si l’une des conditions suspensives n’a pas été réalisée.

Votre agent immobilier IFF vous accompagne dans cette étape et vous propose un modèle d’offre d’achat efficace et claire. Demandez conseil à notre agence !

Surface habitable, loi Carrez, emprise au sol, à carreler ou à peindre… L’univers de l’immobilier ne doit plus avoir de secret si vous souhaitez acheter, louer ou mettre en location une maison ou un appartement. Voici ce qu’il faut savoir pour bien comprendre les diverses catégories de surfaces auxquelles vous aurez sans doute affaire durant vos recherches et vos visites. Comme toujours, l’accompagnement par un professionnel du secteur est toujours la meilleure solution !

Surface habitable

L’article R111-2 du Code de la construction et de l’habitation définit la surface habitable de la manière suivante :

« La surface habitable d’un logement est la surface de plancher construite, après déduction des surfaces occupées par les murs, cloisons, marches et cages d’escaliers, gaines, embrasures de portes et de fenêtres ; le volume habitable correspond au total des surfaces habitables ainsi définies multipliées par les hauteurs sous plafond.

Il n’est pas tenu compte de la superficie des combles non aménagés, caves, sous-sols, remises, garages, terrasses, loggias, balcons, séchoirs extérieurs au logement, vérandas, volumes vitrés prévus à l’article R. 111-10, locaux communs et autres dépendances des logements, ni des parties de locaux d’une hauteur inférieure à 1,80 mètre. 

La surface et le volume habitables d’un logement doivent être de :

  • 14 mètres carrés et de 33 mètres cubes au moins par habitant prévus lors de l’établissement du programme de construction pour les quatre premiers habitants
  • Et de 10 mètres carrés et 23 mètres cubes au moins par habitant supplémentaires au-delà du quatrième. ».

La surface habitable

Deux calculs existent, à utiliser en fonction des besoins, vente ou mise en location :

Selon le calcul loi Boutin : calculer la surface de plancher totale, retirer ensuite les surfaces secondaires ou non habitables au sens strict, c’est-à-dire les combles non aménagés, sous-sols, caves, garages, remises, terrasses, balcons, loggias, vérandas. La hauteur sous plafond doit être de 1,80 mètre au minimum et elle est intégrée dans le calcul. Ce calcul doit obligatoirement figurer sur l’acte de vente d’un bien immobilier à vocation résidentielle.

Selon le calcul loi Carrez : On obtient la superficie loi Carrez en mesurant les pièces individuellement, depuis l’intérieur des murs et cloisons, donc de la surface privative, sans le balcon, la cage d’escalier, la terrasse ouverte, les autres annexes. Ce calcul est nécessaire uniquement lors de la vente de logement en copropriété. Ce calcul est obligatoire pour la mise en location d’un bien immobilier.

L’emprise au sol d’une maison

Selon l’article R. 420-1 du code de l’urbanisme, l’emprise au sol au sens du présent livre est la projection verticale du volume de la construction, tous débords et surplombs inclus. Toutefois, les ornements tels que les éléments de modénature et les marquises sont exclus, ainsi que les débords de toiture lorsqu’ils ne sont pas soutenus par des poteaux ou des encorbellements. » Il faut comprendre qu’il s’agit du sol naturel et qu’il faut faire appel à un architecte dès lors que la construction dépasse les 170 m².

La surface à carreler ou à peindre

Comment indiquer la quantité de peinture ou de carrelage nécessaire pour un bien à vendre avec des travaux ? Grâce au calcul de la surface à carreler ou à peindre ! On multiplie la longueur de la pièce par sa largeur, puis on soustrait les éléments tels que les portes, fenêtres, etc.

Résidence secondaire, maison de vacances, ce logement que l’on utilise occasionnellement permet notamment de couper de la routine urbaine le temps d’un week-end ou d’une période de congés scolaires. L’achat de sa résidence secondaire ne doit laisser aucune place à l’improvisation et pour deux bonnes raisons : c’est la stratégie parfaite pour construire son patrimoine immobilier, mais aussi, et surtout, une occasion de défiscaliser, si le bien se trouve en outre-mer. Nos conseils pour bien choisir votre maison de vacances !

Quelles sont les questions à se poser avant d’acheter une résidence secondaire ?

Voici une série de questions à vous poser afin d’éclaircir votre projet d’achat de résidence secondaire :

  • La maison de vacances sera-t-elle occupée durant les week-ends ou pendant les vacances ?
  • Aurez-vous la possibilité d’en profiter à n’importe quelle occasion ?
  • En combien de temps de route pourrez-vous y accéder ? Sur ce point, la valeur horaire doit prendre le dessus sur la distance !
  • Aurez-vous le temps d’aller en prospection dans les régions qui vous intéressent, afin de découvrir l’environnement, l’atmosphère, etc. ?
  • Une fois la zone idéale trouvée, votre agent immobilier peut-il vous aider à trouver le bien correspondant à vos envies, vos besoins et à votre budget ?
  • La zone dans laquelle le bien se trouve est-elle constructible si vous souhaitez, par exemple, agrandir votre future maison de campagne ?
  • Êtes-vous prêt à vous rendre toujours au même endroit pour passer vos vacances ?

Combien coûte une résidence secondaire ?

Avant d’acheter votre résidence secondaire, concentrez-vous sur les conséquences financières d’une telle décision. Outre les frais légaux, il faudra également vous acquitter des factures courantes.

  • Prêt immobilier si requis ;
  • Frais de notaire ;
  • Taxe foncière ;
  • Taxe d’habitation ;
  • Rénovation du bien si nécessaire ;
  • Électricité ;
  • Gaz ;
  • Eau ;
  • Téléphone / internet ;
  • Charges de copropriété si requises ;
  • Assurance habitation ;
  • Entretien de l’habitation ;

Bon à savoir

Le futur acquéreur ne peut pas, par exemple, bénéficier des prêts aidés pour un tel achat. Il ne peut pas non plus souscrire à un prêt à taux zéro ou demander un prêt conventionné.

Est-ce qu’il vaut le coup d’acheter une résidence secondaire ?

Vous songez à acheter une résidence secondaire, mais la décision est encore sujette à quelques hésitations. Ce type d’investissement comporte toutefois de nombreux avantages, parmi lesquels :

  • La possibilité de louer le bien lorsque vous ne l’occupez pas, afin de financer son remboursement ;
  • Être propriétaire d’un lieu privé pour la famille et les amis durant les vacances ;
  • La constitution d’un capital pour la retraite ;
  • La possibilité de revendre sa résidence actuelle pour transformer la secondaire en résidence principale située à la Réunion afin de vivre sa retraite au soleil.

Quelle fiscalité pour une résidence secondaire ?

La fiscalité du foyer s’alourdit automatiquement à l’achat d’une résidence secondaire. Outre l’ajout de la taxe d’habitation et de la taxe foncière, dans certains cas, un tel achat peut rendre éligible à l’ISF.

Bon à savoir

L’acquéreur peut être éligible à l’exonération de la taxe foncière pendant les deux ans qui suivent l’achat de son bien.

Organisez l’achat de votre résidence secondaire en étant accompagné d’un professionnel

L’achat d’une résidence secondaire, surtout si elle se situe loin de la métropole, nécessite une très bonne connaissance du marché qui vous intéresse. En l’absence de connaissances et d’informations, votre agent immobilier vous accompagne en toute transparence durant chaque étape de la procédure.

La loi oblige les propriétaires bailleurs à fournir un logement décent à leurs locataires. Que renferme le qualificatif « décent » ? Voici ce qu’il faut retenir si vous souhaitez vous tourner vers l’investissement locatif.

Définition du « logement décent » selon la loi française

Le ministère de la Cohésion des Territoires et des Relations avec les Collectivités territoriales définit le logement de la manière suivante : « Le propriétaire doit fournir au locataire un logement décent (sans mise en danger de la sécurité ou santé du locataire, surface minimale …). Si le logement n’est pas décent, le locataire dispose de recours. Le propriétaire encourt alors des sanctions. » Du côté de la législation, c’est la loi du 6.7.89 : art.6, qui rappelle que « Le bailleur est tenu de remettre un logement décent ne laissant pas apparaître de risques manifestes pouvant porter atteinte à la sécurité physique et à la santé, répondant à un critère de performance énergétique minimal et doté des éléments le rendant conforme à l’usage d’habitation. »

Qu’est-ce qu’un logement décent pour une location vide ?

Le propriétaire doit remettre au locataire un logement décent, c’est-à-dire un logement :

  • Doté d’une surface habitable minimum ;
  • Sans risque de porter atteinte à la sécurité physique ou à la santé du locataire ;
  • Sans infestation d’espèces nuisibles et parasites (puces de lit, cafards, etc.) ;
  • Répondant à un critère de performance énergétique minimale (si la région ou le département est concerné ;
  • Doté d’équipements le rendant conforme à un usage d’habitation ;
  • Doit comporter au moins une pièce principale présentant une surface habitable de 9 m² etune hauteur sous plafond minimal de 2,20 mètres, ou un volume habitable de 20 m³.

Quelles sanctions à l’encontre d’un propriétaire de logement non décent ?

Si le juge du tribunal constate que le logement ne satisfait pas aux normes de décence, il peut :

  • Contraindre le bailleur à faire les travaux nécessaires,
  • Imposer une réduction de loyer,
  • Fixer des dommages et intérêts.

Qu’est-ce qu’un logement décent pour une location meublée ?

Le propriétaire doit remettre au locataire un logement décent, c’est-à-dire un logement :

  • Doté d’une surface habitable minimum ;
  • Sans risque de porter atteinte à la sécurité physique ou à la santé du locataire ;
  • Exempt de toute infestation d’espèces nuisibles et parasites ;
  • Répondant à un critère de performance énergétique minimale ;
  • Doté d’équipements le rendant conforme à un usage d’habitation.

Si le logement se situe dans une zone d’habitat dégradé, sa mise en location (le renouvellement et la reconduction du bail n’y sont pas soumis) peut nécessiter :

  • L’obtention d’une autorisation préalable ; Ou
  • Le dépôt d’une déclaration.

Quelle est la surface pour un logement décent meublé ?

Le logement doit comporter au moins une pièce principale présentant :

  • Une surface habitable de 9 m² et une hauteur sous plafond minimale de 2,20 mètres ; Ou
  • Un volume habitable de 20 m³.

Plus d’informations sur les obligations légales sur le logement décent pour la location vide et meublée sur le site internet du ministère de la Cohésion des Territoires et des Relations avec les Collectivités territoriales.

La gestion locative, une solution pour préserver ou améliorer l’état d’un logement

La gestion d’un logement en location prend du temps et peut s’avérer compliquée si, en tant que propriétaire, vous habitez loin du bien en question. Pensez à la gestion locative, qui permet, au même titre que les visites effectuées entre un changement de locataire, de déléguer la gestion des travaux à un agent immobilier professionnel et accrédité à cet effet. C’est la solution la plus facile à mettre en place pour préserver, ou pourquoi pas, améliorer l’état d’un logement.

Il n’y a rien de tel qu’un bel appartement ou une belle maison pour attirer les acheteurs potentiels. Quelques conseils pour mettre votre bien en valeur avant de le présenter et convaincre que c’est le cadre parfait pour vivre.

Comment optimiser l’espace dans un bien immobilier ?

Au fil du temps, on a naturellement tendance à ajouter des meubles à ceux déjà présents. Résultat, l’espace est encombré. Or, si l’on regarde de près, par exemple, les émissions de décoration, on se rend vite compte qu’un espace sain et agréable comporte peu d’ameublements. Améliorez la perception de l’espace en faisant le tri et en sélectionnant les meubles dont vous n’avez pas vraiment l’utilité.
S’il s’agit de meubles de famille, pourquoi ne pas les stocker dans un garde-meuble ?

Comment bien disposer des meubles dans un logement ?

Si vous avez tendance à repousser tous vos meubles contre le mur pour « gagner de l’espace » et améliorer la circulation, la réalité est différente. Les spécialistes conseillent de créer littéralement des groupes, par exemple, en associant votre canapé aux fauteuils. Ainsi, vous gagnerez de l’espace et votre logement respirera la convivialité.

Peut-on interchanger les meubles entre les pièces d’un logement ?

Oui ! Lampes, fauteuils, tables, guéridons, accessoires, bibliothèques… échangez leur place, par exemple, depuis le salon vers une ou plusieurs chambres à coucher. Vous découvrirez votre logement sous un nouveau jour.

Est-il difficile de transformer une pièce dans un logement ?

Il suffit de peu pour transformer une chambre qui sert à entasser les boites et autres objets en endroit cosy, par exemple, pour la lecture. Cela vaut pour toutes les pièces et parties de la maison, y
compris l’escalier qui mène vers l’étage supérieur.

Faut-il changer les luminaires avant de mettre un logement en vente ?

Là encore, la réponse est positive. Créez une ambiance accueillante et chaleureuse grâce à de nouveaux luminaires. Petit rappel de la règle à appliquer, pour chaque pièce, comptez trois couches
d’éclairage, donc au moins 3 luminaires :

  • Un luminaire pour l’éclairage général, qui peut provenir du plafond ;
  • Un luminaire pour l’éclairage de tâche (qui se concentre sur une zone) ;
  • Un luminaire décoratif, posé sur une table ou fixé au mur

Quelle couleur de peinture pour agrandir l’espace ?

Les couleurs neutres et fraîches permettent d’amoindrir les détails « vieillots ». Notez toutefois que les couleurs neutres ne s’arrêtent plus au fameux blanc cassé. Soyez créatif et misez, par exemple, le vert épicéa, le brun Beira, le bleu vert doux. Quant aux couleurs plus pétillantes, attention, elles ont tendance à créer l’effet contraire !

Comment disposer les cadres pour décorer ?

Faites preuve de créativité et évitez d’aligner vos cadres et autres travaux artistiques en une bande régulière sur les murs. Donnez-leur de la visibilité en les regroupant sous différents motifs.

Combien d’accessoires faut-il pour décorer une pièce ?

Les spécialistes de la décoration conseillent de mélanger 3 accessoires ou tout autre nombre impair. Choisissez des accessoires de hauteur différente en prenant soin d’accorder les textures, matières, couleurs.

Les conseils suivants ajouteront des points supplémentaires à votre logement. Comptez également sur votre agent immobilier, qui jouera un rôle important dans la vente de votre appartement ou maison !

 

L’achat d’un bien immobilier ne doit laisser aucune place à l’improvisation. C’est pourquoi il est très important d’attacher la même attention à chaque étape, y compris celle que l’on appelle la contre-visite. Comment la transformer en un outil qui va peser sur votre décision d’acquérir l’appartement ou la maison de vos rêves ?

Contre-visite : de quoi s’agit-il ?

En immobilier, on définit la contre-visite comme la seconde visite d’un bien que l’on envisage d’acquérir. Elle permet de procéder à certaines vérifications :

  • L’état du bien, son entretien et son environnement ;
  • Tous les éléments qui constituent le bien en lui-même ;
  • Les factures liées au bien (chauffage, taxe foncière, etc.) ;
  • Les éventuels travaux à prévoir, en vous faisant accompagner par un expert s’il s’agit de gros travaux ;
  • Revoir et éventuellement négocier les éléments qui peuvent l’être et constatés lors des visites précédentes ;
  • Le quartier et l’immeuble à différents moments de la journée.

Quels éléments vérifier lors d’une contre-visite immobilière ?

Trois principaux éléments doivent être soigneusement vérifiés lors de la contre-visite immobilière, il s’agit de l’extérieur du bien, l’intérieur du bien et l’environnement du bien. Préparez un mètre mesureur, de quoi noter et éventuellement une lampe de poche !

L’extérieur du bien immobilier

Dans l’ordre :

  • L’extérieur, les façades et la toiture : dans quel état sont-ils ? Constatez-vous des traces d’infiltration ou des fissures ? Des tuiles manquantes, qui nécessitent réparation ?
  • Dans quel état sont les fondations de la construction ?
  • L’accès à l’immeuble : est-il sécurisé ? Y a-t-il un interphone, un digicode, un système à carte ou à clé magnétique ?
  • Les parties communes : sont-elles propres ?
  • L’ascenseur et l’escalier sont-ils bien entretenus ? Quelle est la régularité des travaux de maintenance ? Est-il prévu de gros travaux ?

L’intérieur du bien immobilier

Vérifiez dans l’ordre :

  • Le nombre de pièces et leur superficie ;
  • Demandez un document qui exprime clairement la surface utile disponible ;
  • Vérifiez l’état des murs, des sols et des plafonds de chaque pièce ;
  • Dans quel état sont les revêtements, le système de plomberie et le chauffage ?

L’environnement immédiat du bien immobilier

Ici, tout va dépendre de vos besoins et de vos envies.

À quelle distance sont les commerçants de proximité, les commodités et les espaces verts ?

Les services publics sont-ils facilement accessibles à pied, en transports en commun ou nécessitent-ils un déplacement en voiture ?

  • À quelle distance sont les écoles, crèches ou encore la PMI ?
  • Comment est le parc de stationnement ?
  • Le quartier est-il réputé pour être calme aussi bien en journée que le soir ?
  • Dans quel état sont les logements du voisinage ?
  • Quels sont les projets d’urbanisme de la commune ?

Nous vous conseillons fortement de vous faire accompagner par un agent immobilier certifié pour rendre cette contre-visite aussi productive que possible !

Si vous préférez investir dans l’immobilier locatif plutôt que celui résidentiel, vous participez activement à un nouveau phénomène dans le secteur, qui compte de plus en plus d’investisseurs répondant à ce profil. Vous avez donc décidé d’acquérir un bien avec l’objectif de le mettre en location : voici les avantages que vous allez pouvoir en tirer.

Immobilier locatif : une série de garanties pour la sécurité des investisseurs

Si vous craignez pour votre sécurité financière en investissant dans l’immobilier locatif, il existe de nombreuses garanties pour vous protéger. Demandez conseil à votre agent immobilier pour obtenir un accompagnement professionnel et bénéficier de ses connaissances accrues de la législation. En attendant, l’investisseur locatif bénéficie d’une garantie loyers impayés (GLI), qui couvre plusieurs aspects qui peuvent survenir au cours d’une location :

  • Loyers impayés ;
  • Départ imprévu du locataire ;
  • Dégradation du bien ;
  • Frais de justice.

Une forme d’investissement accessible à tous

Dans l’imaginaire collectif, l’investissement au sens large du terme nécessite des compétences pointues pour parvenir à gagner de l’argent. Concernant l’immobilier locatif, la donne est différente, d’autant plus que de nombreuses dispositions ont été créées pour faciliter les choses.

Par exemple, il est possible de contracter un prêt immobilier sans apport personnel pour financer l’investissement tandis que les loyers permettront de rembourser ledit crédit. Là encore, votre agent immobilier vous aidera à calculer la somme adéquate de prêt à demander à la banque, en prenant en considération les loyers perçus.

Générer des revenus complémentaires

Au fil du temps, l’investissement dans l’immobilier locatif permet de générer des revenus complémentaires. Une fois le prêt immobilier remboursé, les loyers perçus peuvent être utilisés par le propriétaire à titre de revenus locatifs.

Des avantages fiscaux intéressants

L’investissement dans l’immobilier locatif n’est pas sans avantages fiscaux, grâce à plusieurs dispositifs tels que la loi Pinel, la loi Malraux ou encore la loi Censi-Bouvard. Ils permettent d’amortir une partie du coût du bien à long terme et faciliter le lègue du bien à ses proches qui pourront le transformer en résidence principale ou secondaire.

L’investissement locatif s’adresse à tous les profils, bénéficiaires d’un budget restreint ou suffisamment large. Demandez toujours conseil à un agent immobilier pour trouver le bien idéalement situé afin de pouvoir l’exploiter de manière optimale. Ajoutons à cela les avantages fiscaux et les différents dispositifs existants et nous obtenons un moyen très accessible de constituer un patrimoine financier et immobilier intéressant.

Vous avez décidé de mettre en vente votre logement, qu’il s’agisse d’une maison individuelle, en copropriété ou d’un appartement en copropriété. En attendant que vous fassiez le point avec votre agent immobilier, voici une liste pratique des documents que vous devrez fournir à tout acquéreur potentiel. Cette liste lui permettra de bien peser sa décision et faciliter la vente !

Quand faut-il donner les documents sur le bien immobilier à l’acheteur ?

Selon la loi Alur de 2014 et depuis l’ordonnance du 27 août 2015, le vendeur doit fournir au notaire les documents relatifs à son bien immobilier au moment de la signature de la promesse de vente ou du compromis.

Liste des documents à fournir par le vendeur d’un appartement ou d’une maison en copropriété

Si vous vendez un appartement ou une maison en copropriété, vous devez fournir les documents suivants :

  • Titre de propriété ;
  • Règlement de la copropriété ;
  • Descriptif de division ;
  • Procès-verbaux des trois dernières assemblées générales ;
  • Relevés et appels de charges des deux dernières années ;
  • État daté des charges (transmis par le syndic de copropriété) ;
  • Carnet d’entretien de la copropriété ;
  • Diagnostics plomb et amiante des parties communes.

Liste des documents à fournir par le vendeur d’une maison individuelle

Si vous vendez une maison individuelle, vous devez fournir les documents suivants :

  • Documents d’état civil du vendeur ;
  • Attestation de superficie loi Carrez ;
  • Si la maison est en location : bail du locataire s’il y en a un pendant la vente, la somme du dépôt de garantie du locataire, 3 dernières quittances de loyer ;
  • Permis de construire, déclaration d’achèvement des travaux, justificatif de conformité et l’attestation dommage-ouvrage si les travaux ont pris fin il y a moins de 10 ans ;
  • État d’installation des équipements pour le gaz et l’électricité s’ils ont plus de 15 ans ;
  • État des Risques et Pollutions ;
  • Diagnostic amiante si la construction date d’avant 1997 ;
  • Diagnostic plomb si la construction date d’avant 1949 ;
  • État des installations d’assainissement non collectif si la maison n’est pas reliée au tout à l’égout ;
  • Documents liés à tous gros travaux effectués dans la maison ;
  • Contrats d’entretien des équipements sanitaires, gaz, électricité, etc. ;
  • Copie des garanties des équipements encore sous contrat ;
  • Procès-verbal de bornage du terrain sur lequel se trouve la maison ;
  • Documents de servitude, droits de passage, etc..

Votre agent immobilier est votre interlocuteur principal si vous avez des difficultés à compléter la liste des documents à fournir !

Lorsqu’il s’agit d’acheter ou de vendre un bien immobilier, tout commence par la valeur de ce dernier sur le marché. L’évaluation est toutefois un exercice à ne pas prendre à la légère, pour ne pas être perdant, tout simplement. Bien entendu, il est fortement conseillé de vous tourner vers votre agent immobilier afin d’obtenir son point de vue sur votre estimation !

Valeur marchande d’un bien immobilier : de quoi s’agit-il ?

On appelle « valeur marchande » le prix le plus probable et sincère, de la vente réelle ou présumée d’un bien construit, à une date donnée, sur un marché libre et ouvert à la concurrence où l’acheteur et le vendeur sont raisonnablement informés des conditions du marché.

Elle ne doit pas être confondue avec le prix du marché, qui peut être supérieur ou inférieur à la valeur marchande. C’est au prix du marché que le vendeur va vendre son bien.

Estimer la valeur de votre bien immobilier

Commencez par énumérer les caractéristiques et avantages du bien, qui peuvent le différencier des autres biens en vente dans la zone, par exemple :

  • Sa surface ;
  • La taille du lot ;
  • Son emplacement ;
  • Son âge ;
  • Nombre de pièces ;
  • Son état général (bon, moyen, mauvais) ;
  • Présence d’un garage, d’une piscine, dépendance ;

Trouvez au moins 3 autres biens immobiliers comparables, qui se sont vendus au cours des trois à six derniers mois et notez leurs caractéristiques.

Calculez un prix de référence

Une fois que vous avez trouvé les biens comparables, calculez un prix de référence moyen.

Bon à savoir

L’emplacement du bien immobilier est un élément clé de l’évaluation, en raison de critères tels que la proximité des transports, les écoles, commerces, etc.

Vous pouvez également calculer le prix au mètre carré (m²), toujours en faisant la moyenne du prix au m² entre les 3 biens comparables.

Une évaluation aussi objective que possible

Les caractéristiques physiques font la différence entre deux biens immobiliers comparables en vente. Pour une évaluation au plus proche de la réalité, vous devrez ainsi prendre en considération la présence ou l’absence d’un élément (garage, balcon, la vue, etc.) afin d’ajuster votre prix à la hausse ou à la baisse par rapport aux autres biens en vente sur le marché au même moment.

Rien ne vaut l’avis d’un professionnel de l’immobilier !

Pour une évaluation au plus juste d’un bien immobilier, que vous soyez vendeur ou acheteur, nous vous conseillons fortement de vous rapprocher d’un agent professionnel.

En plus de ses connaissances pointues du secteur, ce dernier possède toutes les dernières informations à jour sur le marché et son dynamisme au moment où vous souhaitez procéder à votre transaction !