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En tant que propriétaire dont le bien immobilier est mis en location, parmi les sujets d’inquiétude récurrents, il y a celui des loyers impayés. La caution locative fait partie des solutions dont les bailleurs disposent pour se protéger. Différente du dépôt de garantie, elle passe par des organismes spécialisés. Retour sur ce moyen de protection auquel on ne pense pas assez.

La caution locative et dépôt de garantie, deux solutions différentes

Le propriétaire bailleur et le locataire disposent de deux solutions pour parer à toute situation de loyer impayé :

Le dépôt de garantie, à travers lequel le locataire dépose une somme d’argent, généralement à hauteur d’un mois ou de deux mois de loyers (selon si le logement est loué vide ou meublé), à la signature du bail. La somme est rendue au locataire lorsque celui-ci quitte le logement et au prorata d’éventuelles dégradations constatées à l’état de sortie.

La caution locative quant à elle consiste à se tourner vers un tiers, qui se porte garant. En cas de loyer impayé par le locataire, cette caution va prendre en charge le paiement.

Quels sont les différents types de caution locative ?

On reconnaît quatre types de cautions locatives :

La caution simple : il s’agit d’une tierce personne physique (parent, amis, etc.) ou morale qui s’engage par écrit à prendre en charge le paiement du loyer uniquement si le locataire n’est pas solvable financièrement. Cette caution est sur-mesure, c’est-à-dire qu’elle peut avoir une durée déterminée et prendre en charge le paiement des loyers dans leur totalité ou en partie.

La caution solidaire : ici, une tierce personne physique (parent, amis, etc.) ou morale (assurance, organisme spécialisé de la gestion locative, banque) s’engage par écrit à payer le loyer (après 2 impayés), mais aussi les charges et travaux impayés si le locataire n’y parvient pas.

L’organisme de caution pour la location qui consiste en aides émises par l’État : le dispositif VISALE est disponible sous condition pour le locataire (passé locatif, âge, prix du loyer). Le ministère de l’Intérieur propose un article complet sur la question.

La caution bancaire : en l’absence de justificatifs de revenus ou de garants physiques, le locataire peut demander à sa banque d’être son garant.

Les autres solutions pour se prémunir contre les loyers impayés

Propriétaire comme locataire disposent d’alternatives pour se prémunir contre les loyers impayés.

Du côté du locataire, celui-ci peut en effet souscrire un contrat auprès d’une entreprise spécialisée dans les Garanties Loyers Impayés. Cette solution est bien évidemment payante, généralement un petit pourcentage du prix total du loyer.

Quant au propriétaire, il peut, lui aussi, souscrire une Garantie Loyer Impayé, à condition toutefois que son locataire ne puisse pas présenter un garant, sauf s’il s’agit d’un étudiant.

Pensez également à la gestion locative si vous êtes propriétaire et souhaitez protéger votre investissement. Notre agence immobilière vous accompagne dans cette démarche !

En tant que propriétaire d’un bien immobilier, quel intérêt de prendre une assurance habitation ? Nos réponses dans cet article.

(Source : Le site officiel de l’Administration française – Service-public.fr)

En tant que propriétaire, vous n’êtes pas dans l’obligation de contracter une assurance habitation, à moins que votre bien immobilier se situe au sein d’une copropriété.

L’assurance habitation si vous occupez le bien immobilier dont vous êtes propriétaire

La loi n’oblige pas le propriétaire de prendre une assurance habitation s’il occupe son propre logement. En contrepartie, il s’engage à indemniser de sa poche tout préjudice causé à autrui par lui ou son logement.

Attention toutefois, dans le cadre de la copropriété, l’assurance habitation devient obligatoire pour le propriétaire.

Pourquoi le propriétaire devrait-il prend une assurance multirisque habitation ?

La vie réserve parfois de mauvaises surprises envers lesquelles il vaut mieux être préparé. Les professionnels de l’immobilier et des assurances conseillent fortement aux propriétaires qui logent dans leur propre bien immobilier de prendre une assurance multirisque habitation. Ainsi, ils seront protégés en cas d’incendie, d’explosion, de dégâts des eaux, de vols sur :

  • Leur bien immobilier (maison individuelle, appartement) y compris les embellissements et aménagements intérieurs ;
  • Les biens mobiliers et les objets de valeur.

Les clauses « responsabilité civile » et « réparation des dommages corporels et matériels causés à autrui » comprises dans ce type d’assurance habitation couvrent également les dommages sur :

  • Le propriétaire du bien, la personne avec qui il vit, ses enfants, ceux dont il a la garde et les personnes qui sont à son service (apprentis, employés, etc.) ;
  • Ses animaux et ceux dont il a la garde.

Bon à savoir

Prenez le temps de bien comparer les exclusions de garantie prévues par chaque compagnie d’assurance lorsque vous choisirez votre assureur !

Quelles sont les garanties supplémentaires intéressantes dans le cadre d’une assurance habitation propriétaire ?

Pour une protection maximale, les assureurs proposent des garanties complémentaires, à choisir en fonction de vos besoins :

  • La garantie incendie ;
  • La garantie dégâts des eaux ;
  • La garantie des biens mobiliers (meubles, électroménagers, objets de valeur) ;
  • La garantie des biens immobiliers, pour assurer la construction ;
  • La protection juridique, pour une couverture en cas de conflit nécessitant l’intervention de la justice ;
  • La garantie vol, en cas de cambriolage.

Si elle n’est pas obligatoire pour le propriétaire, l’assurance habitation n’est pas un luxe, mais une nécessité. N’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre agent immobilier pour une assurance adaptée au bien immobilier que vous possédez ou que vous souhaitez acheter !

Si vous souhaitez vendre le bien immobilier dont vous êtes propriétaire, il est important de prévoir les frais inhérents à une telle transaction. Revenons ensemble sur les dépenses à honorer.

Les frais de notaire

La plupart du temps, c’est à l’acheteur de s’en acquitter, mais dans certains cas, les frais de notaire peuvent être pris en charge par le vendeur. Si tel est votre cas, notez que frais de notaire sont composés de :

  • Taxes (droits de mutation et frais annexes) ;
  • La rémunération du notaire, dont le montant correspond à 7 ou 8 % de la valeur du bien dans l’ancien, et à 2 ou 3 % dans le neuf.

Les taxes sur la plus-value immobilière

Si vous parvenez à vendre votre bien immobilier plus cher que le prix d’achat, vous réalisez une plus-value. La loi prévoit l’imposition de cette plus-value dans les cas suivants :

  • Vente d’un bien immobilier (appartement, maison, terrain) ;
  • Vente des droits attachés à un bien immobilier (servitudes par exemple) ;
  • Vente par l’intermédiaire d’une société civile immobilière (non soumise à l’impôt sur les sociétés) ou d’un fonds de placement dans l’immobilier (FPI) ;
  • Échange de biens, partage ou apport en société.

La plus-value immobilière est imposée à l’impôt sur le revenu au taux de 19 %.

Une taxe supplémentaire s’applique en cas de plus-value imposable supérieure à 50 000 €. Le taux varie de 2 % à 6 % selon le montant de la plus-value réalisée.

(Source : Impôt sur le revenu – Plus-value immobilièreservice-public.fr)

Attention toutefois, l’imposition de la plus-value est soumise à plusieurs conditions et fait l’objet d’abattements, aussi, n’hésitez pas à vous rapprocher d’un agent immobilier qui vous aidera à mieux cerner le sujet.

Le crédit immobilier

Il n’est pas rare de vouloir revendre son bien immobilier afin d’en racheter un autre. Il n’est pas rare non plus que le bien en vente soit encore sujet à un crédit immobilier. Dans un tel cas de figure, la banque peut appliquer des frais sur le remboursement anticipé ou une mainlevée d’hypothèque, à moins que le propriétaire ait négocié l’annulation de ces frais en amont.

Les frais d’agence immobilière

L’agence immobilière applique ce que l’on appelle une commission lorsqu’elle intervient à la demande d’un propriétaire désireux de vendre son bien. Le montant de cette commission représente une petite partie du prix de vente et le taux est toujours écrit noir sur blanc sur le mandat de vente, mais aussi sur l’acte de vente.

La TVA

Le propriétaire vendeur est soumis au remboursement de la TVA dans deux cas :

S’il s’agit de la première revente d’un bien immobilier neuf 5 ans avant sa date d’achèvement ;

Si le bien a été acheté sur plan (VEFA – Vente en l’état futur d’achèvement) et qu’il n’a pas encore été livré.

Les frais de mutation

La vente d’un appartement situé au sein d’une copropriété peut être soumise à des frais de mutation de copropriété. Quant au montant, il est variable, aussi, il convient de se renseigner sur ce point avant l’achat.

Comme vous pouvez le constater, la revente d’un bien dont vous êtes propriétaire est soumise à des frais auxquels il faut se préparer en amont. Demandez toujours conseil à votre agent immobilier afin d’organiser efficacement leur paiement.

La colocation consiste à louer un bien immobilier en tant que résidence principale à plusieurs personnes en même temps, appelées alors colocataires. Les deux parties, aussi bien le bailleur que lesdits colocataires ont des droits et des devoirs à respecter. Quels sont-ils ?

Les obligations des colocataires

Comme pour toute location, les colocataires doivent respecter un ensemble de règles édifiées pour une utilisation sereine du lieu qui leur est loué :

  • En payant leur part respective de loyer et chaque mois ;
  • L’ensemble des colocataires doivent faire les réparations locatives prévues par la loi dans le cadre d’une location ;
  • En s’assurant une utilisation respectueuse de tous du logement ;
  • Souscrivant une assurance habitation ;
  • Payant les impôts et taxes liés à la location immobilière ;
  • Demandant l’accord écrit du bailleur en cas de sous-location d’une chambre ;
  • Quittant le logement en respectant les règles de rupture de bail de location

Les obligations du bailleur dans le cadre d’une colocation

Les bailleurs doivent de leur côté respecter scrupuleusement les obligations qui leur incombent et prévues par la loi :

  • Le bailleur désireux de louer son logement sous la forme d’une collocation doit respecter les obligations qui lui incombent ;
  • Le logement loué en colocation doit répondre aux critères de décence prévus par la loi ;
  • Il doit respecter ses obligations de travaux et réparations nécessaires à l’entretien du bien immobilier ;
  • Autoriser les colocataires à aménager le bien loué, excepté s’il s’agit de gros travaux susceptibles de transformer le bien immobilier ;
  • Il doit se conformer aux règles édictées par la loi en matière rédaction et de résiliation de bail ;
  • S’assurer que les colocataires puissent jouir de leur logement de manière sereine ;
  • Il est obligé par la loi de remettre une quittance de loyer à tout colocataire qui en fait la demande et cela sans aucuns frais.

Les droits du bailleur dans le cadre d’une colocation

Tout comme les colocataires, le bailleur possède également des droits :

  • Le bailleur n’est pas obligé de louer son bien immobilier sous la forme d’une colocation. Cette décision lui appartient ;
  • La loi autorise au bailleur d’inclure une clause de solidarité dans le bail. Également appelée clause d’indivisibilité de la dette de loyer, cette clause oblige le colocataire, lorsqu’il donne son préavis pour quitter le logement, à s’acquitter des dettes de la colocation ;
  • Il est également autorisé à exiger une caution solidaire à chaque colocataire ;
  • Il peut refuser un colocataire potentiel proposé par les colocataires présentes, si l’un d’entre eux a donné sa démission du logement ;
  • Lors du changement d’un colocataire, le bailleur peut soit ajouter un avenant au bail existant ou alors faire signer un nouveau bail aux colocataires présents ;
  • Il peut revoir son loyer à la baisse si un colocataire quitte la location et qu’il ne souhaite pas que ce dernier soit remplacé ;
  • Il peut arrêter un bail de plein droit si ce dernier contient une clause de rupture du bail (résolutoire) et que l’une des conditions énumérées par la clause a été enclenchée par l’un des colocataires.

Concernant les règles complètes inhérentes à la colocation, consultez l’article « Colocation : quelles sont les règles ? » sur le site service-public.fr.

Pour une location sereine de votre bien immobilier sous la forme d’une colocation, confiez cette tâche à votre agent immobilier. Ses connaissances en matière de législation, mais également son expérience, vous permettront de rentabiliser votre investissement rapidement et durablement !

Louer un logement demande que l’on y consacre du temps. Parmi les différentes actions à accomplir pour louer rapidement son bien, il y a la rédaction de l’annonce immobilière. En déléguant cette tâche à une agence immobilière, cette dernière respectera la réglementation, garantissant ainsi une location en toute transparence. Que dit la loi concernant la […]

En tant que propriétaire d’un bien destiné à la location, il est important de minimiser les périodes de vacances locatives afin que votre investissement immobilier soit rentable. Pour vous permettre de gagner du temps et trouver rapidement vos locataires, nous répondons aux questions les plus fréquemment posées :

Comment trouver rapidement un locataire ?

Deux solutions s’adressent à vous :

  • L’agence immobilière, une solution sécurisée et la garantie de bénéficier d’un service de qualité professionnelle ;
  • Les groupes de locataires à la recherche d’un bien à louer sur les réseaux sociaux

L’agence immobilière

L’agence immobilière a pour mission de faciliter la tâche aux propriétaires désireux de vendre, mais également de louer leur bien. Avec l’intervention d’un professionnel qui connaît le marché, vous gagnez du temps sur les visites, la vérification de la solvabilité des candidats ou encore l’analyse des dossiers.

Pour aller plus loin dans le processus, vous pouvez également lui confier la gestion locative de votre bien. Cette solution permet d’économiser du temps et bien entendu, de l’argent.

Les groupes sur les réseaux sociaux

En plus de l’annonce traditionnelle, il ne faut pas hésiter à intégrer les groupes de locataires à la recherche d’une location sur les réseaux sociaux. De nombreux sites et plateformes (telles que Facebook) abritent des groupes entiers de personnes à la recherche d’un bien à louer.

Cette solution permet d’établir un premier dialogue avec les profils ciblés et en recherche active d’une maison ou d’un appartement à louer.

Comment rédiger une annonce immobilière pour louer un logement ?

L’annonce immobilière fait sans nul doute partie des premiers éléments qu’un locataire potentiel va consulter pour trouver les logements correspondant à ses besoins. C’est la raison pour laquelle l’annonce doit être claire, concise, réaliste afin de sortir du lot :

  • Ajoutez des photos du logement, non retouchées, de qualité, prises lorsque la lumière naturelle est optimale ;
  • Incluez autant d’informations que possible sur le logement : prix du loyer, des charges, étage, ascenseur, quartier, distance avec les commodités, meublé ou non ;

Comment organiser les visites pour louer un logement ?

Le temps est un atout précieux dont vous ne disposez sans doute pas en quantité illimitée ! Ce critère est bien entendu encore plus crucial si vous n’habitez pas à proximité du bien mis en location.

La solution la plus appropriée pour faire d’une pierre deux coups consiste à organiser plusieurs visites à la fois durant la même journée. À noter que les week-ends constituent le moment parfait pour de nombreux locataires potentiels qui travaillent la journée.

Prenez le temps de faire visiter votre logement à louer à chaque locataire potentiel. En procédant ainsi plutôt que par groupe, vous parviendrez à mieux cerner le profil de chaque visiteur et jauger son sérieux.

Quelles sont les pièces à demander pour louer un logement ?

Chaque candidat à la location doit pouvoir vous fournir un dossier complet, comportant les documents obligatoires :

  • Photocopie d’une pièce d’identité ;
  • Contrat de travail ;
  • Trois derniers bulletins de salaire ;
  • Dernier avis d’imposition ;
  • Trois dernières quittances de loyer

Retrouvez des informations complètes sur les documents du locataire sur le site officiel de l’administration française.

On confond souvent le bailleur et le propriétaire, du moins lorsqu’un propriétaire n’occupe pas lui-même le rôle de bailleur. Voici ce qu’il faut retenir pour bien faire la différence entre ces deux termes.

Propriétaire : définition

Le propriétaire est la personne qui possède et dans le cadre de l’immobilier, c’est à lui qu’appartient le logement.

En tant que propriétaire, s’il souhaite mettre son bien en location, il devra respecter scrupuleusement la législation, qu’il s’agisse d’un logement vide ou d’un logement meublé.

Le site officiel de l’Administration française rappelle que : « Le propriétaire a l’obligation de délivrer un logement décent et ne portant pas atteinte à la sécurité ou à la santé du locataire. Il est tenu de remettre au locataire un certain nombre de documents lors de la signature du contrat de location et en cours de bail. Les travaux ne relevant pas des réparations locatives sont à sa charge exclusive tout au long de la durée du bail. »

Ainsi, c’est à lui que revient le maintien de l’état général du logement, qu’il doit garder habitable.

Bon à savoir

Un propriétaire qui met en location lui-même son logement devient un propriétaire-bailleur. Ainsi, il devra s’occuper de tout l’aspect administratif qui accompagne ce type de transaction (état des lieux d’entrée, état des lieux de sortie, création du contrat de location, signature, etc.).

Bailleur : définition

Le bailleur est une personne physique ou morale qui contracte le bail au nom d’un propriétaire désireux de louer son logement.

Ce bailleur peut être un agent immobilier ou un administrateur de biens. Ses obligations ne sont pas les mêmes qu’un propriétaire et dans un tel cas, il agira uniquement en tant que « représentant du propriétaire ».

En attendant, la loi du 6 juillet 1989 oblige le bailleur :

  • À livrer un logement décent ;
  • De faire en sorte que le bien immobilier loué ne porte pas atteinte à la sécurité ou à la santé du locataire ;
  • À remettre au locataire certains documents lors de la signature du contrat de bail ;
  • De prendre en charge tous les travaux, qui ne relèvent pas des réparations locatives, cela tout au long de la durée du bail.

Envie d’être propriétaire, mais pas bailleur ?

Si vous êtes propriétaire, mais que vous ne souhaitez pas ou que vous ne pouvez pas vous occuper de l’aspect administratif de la location de votre bien, pensez à la gestion locative ! Cette solution délivre une assistance complète tout au long de la location, depuis la recherche des locataires jusqu’à la conclusion du bail. En confiant votre logement à notre agence immobilière, vous bénéficierez de l’accompagnement d’un professionnel du secteur, plus apte à défendre vos intérêts grâce à sa parfaite connaissance du secteur immobilier, à fixer le meilleur prix possible pour rentabiliser votre bien au maximum et à superviser à votre avantage la réalisation des travaux !

La recherche d’un bien immobilier à louer ou à vendre peut-être une tâche ardue, et particulièrement si vous visez une grande ville à forte demande. Le mieux à faire est de se tourner vers une agence immobilière, qui sera à même de procéder à la recherche du logement parfait en votre nom, respectueux de votre budget. En attendant, voici quelques conseils qui vous permettront d’organiser votre projet.

Pourquoi passer par une agence immobilière pour louer ou acheter un logement ?

L’agence immobilière est la meilleure alternative pour gagner du temps : par exemple, chez IFF, nous nous chargeons de rechercher le logement qui répond à vos besoins en termes de taille, situation géographique, de loyer, s’il s’agit d’une location ou de prix, s’il s’agit d’un achat.

Préparez un dossier de location ou d’achat complet et convaincant

La location ou l’achat d’un bien nécessite la présentation d’un dossier suffisamment complet et solide pour convaincre les divers intervenants que vous rencontrerez : propriétaire bailleur, agent de gestion locative, banque, vendeur d’un bien.

Chaque document ajouté à ce dossier constitue une vitrine de votre profil : il doit convaincre de votre sérieux, de votre motivation à devenir propriétaire ou locataire et de vos capacités financières à payer régulièrement votre loyer ou à rembourser votre crédit immobilier.

Bon à savoir

Sortez résolument du lot en préparant une page de résumé des pièces de votre dossier, avec une rapide présentation de votre situation professionnelle et personnelle, vos revenus, vos garanties. Dans le cadre d’une location, n’hésitez pas à parler de votre caractère sous un jour positif !

Notre article « Bien préparer son dossier de location : rappel sur les documents » vous explique comment préparer votre dossier de location !

Préparez le jour de la visite du bien à louer ou à acheter

Jouez à fond la carte du candidat parfait à la location ou à l’achat ! N’ayez pas peur de poser toutes les questions qui vous viennent à l’esprit au cours de la visite et surtout prenez le temps d’écouter les réponses. En étant accompagné par votre agent immobilier, vous disposerez également d’une source précieuse d’informations sur l’aspect légal de la transaction.

Pensez également à apporter une copie de votre dossier, à remettre à la fin de la visite après avoir échangé quelques mots avec le propriétaire vendeur ou bailleur.

Une attente active !

Après la visite du logement, faites preuve de patience, mais tout en continuant à exprimer votre intérêt de façon mesurée. Un e-mail de remerciement après la visite, un message pour vous enquérir du développement de la location ou de la vente quelques jours plus tard : montrez à votre interlocuteur que vous suivez de près la situation !

Si vous avez décidé de prêter gratuitement ou de louer un bien immobilier dont vous êtes propriétaire à l’un de vos enfants, comment procéder pour être en accord avec la législation ? Voici nos réponses pratiques.

Louer un bien immobilier à son propre enfant

Si vous louez un bien immobilier dont vous êtes propriétaire à votre propre enfant, la loi est formelle à ce propos : vous devrez rédiger, signer et lui faire signer un bail. De son côté, y compris s’il s’agit de votre propre progéniture, il devra vous verser régulièrement un loyer.

Pourquoi traiter votre enfant comme un locataire normal ? En respectant la loi, vous bénéficierez tout simplement de déduction de frais ou de charges sur vos revenus imposables. Ce dispositif est régi notamment par la loi Pinel. Qui plus est, les autorités vérifient régulièrement le déroulement de ce type de transaction et tout manquement peut déboucher sur un redressement fiscal.

Concernant le montant du loyer, oui, vous pouvez revoir le prix à la baisse, sans toutefois trop aller vers le bas. Ce point est essentiel pour éviter toute interaction désagréable, là encore, avec les autorités fiscales, qui veillent de près.

Enfin, ajoutons qu’en cas de renouvellement du bain ou de relocation, ce montant ne devra pas être modifié, à moins que vous n’ayez fait de gros travaux dans le bien, une fois votre enfant parti.

Comment bénéficier du dispositif Pinel en cas de location à son enfant ?

Ce dispositif s’applique si le bien loué a été acheté neuf et que le locataire est fiscalement indépendant de votre foyer. De plus, ses ressources annuelles devront respecter les plafonds Pinel. Le portail officiel de l’Administration française vous en dit plus sur la « Réduction d’impôt sur le revenu pour investissement locatif ».

Loger gratuitement son enfant dans un bien immobilier dont vous êtes propriétaire

Dans un tel cas, inutile de faire un bail et vous ne bénéficierez d’aucun avantage fiscal.

En revanche, vous resterez redevable de la taxe foncière tandis que votre enfant devra prendre en charge le paiement de la taxe d’habitation, comme le ferait un locataire traditionnel.

Que vous ayez décidé de louer ou de prêter gratuitement votre bien immobilier à l’un de vos enfants, il est important de bien connaitre les lois et de les respecter à la lettre. Demandez conseil à votre agent immobilier !

En tant que propriétaire bailleur, vous avez remarqué que la gestion de votre ou vos biens immobiliers prend du temps. La gestion locative est sans nul doute la solution la plus pertinente pour une administration sereine de tous les aspects qui peuvent se présenter. Zoom sur cette pratique immobilière !

Gestion locative : de quoi s’agit-il ?

On appelle gestion locative les différentes tâches qui permettent le bon fonctionnement d’une location immobilière. Confiée à une agence immobilière, elle permet de gagner du temps et surtout de bénéficier des connaissances d’un professionnel en matière de législation et de bonnes pratiques en la matière.

Les avantages de la gestion locative

En prenant en charge toutes les tâches inhérentes à l’administration d’un bien mis en location, la gestion locative présente un large éventail d’avantages. Voici quelques exemples, cette liste n’est pas exhaustive :

La sélection des locataires : le gestionnaire locatif s’occupe de sélectionner les candidats à la location du bien qui lui est confié. Il procède à la vérification des antécédents des locataires potentiels (revenus, sérieux, etc.). Cette étape revêt une importance capitale pour diminuer au maximum les risques de loyers impayés.

La gestion de tous les aspects juridiques : la législation en matière de location immobilière est complexe. S’il existe des aides juridiques à l’attention des propriétaires, protégez-vous au maximum des poursuites judiciaires coûteuses et des problèmes juridiques en bénéficiant des connaissances d’un professionnel de l’immobilier ! État des lieux à l’entrée, à la sortie, négociations de bail, résiliation, perception des loyers et des charges, etc., vous avez l’assurance que tout est fait selon les règles.

Un revenu fiable et régulier : en tant que propriétaire, vous avez besoin de percevoir régulièrement le loyer de votre bien mis en location. Devant un locataire peu sérieux, les conséquences peuvent être stressantes. Votre gestionnaire immobilier se charge de contrôler tout le processus, par exemple, en relançant votre locataire s’il est retard dans ses paiements.

Le respect des conditions de location : c’est au gestionnaire locatif que revient la charge de faire respecter les conditions du bail, si le locataire est en faute. Gros travaux non autorisés dans le logement, présence d’animaux domestiques, respect des règles de copropriété, de l’intégrité du logement, là encore, votre gestionnaire se déplacera ou se mettra en contact avec le locataire indélicat.

Une meilleure gestion fiscale : outre la régularité dans la perception des loyers, en tant que propriétaire bailleur, vous bénéficiez de certains avantages fiscaux dont il serait dommage de se passer. La gestion locative prévoit de guider les propriétaires durant les périodes de déclaration de revenus.

Contactez-nous pour en savoir plus sur nos prestations en gestion locative !